Voici le système le plus simple pour gagner sa vie en ligne :
Il s'agit de créer une newsletter intéressante, et d’y mettre régulièrement en avant les produits ou services que tu proposes.
Par exemple, tu peux lancer une newsletter sur la guitare, et y partager plusieurs fois par semaine des pensées, des astuces et des idées qui peuvent aider les gens qui jouent de cet instrument.
Et de temps en temps, tu proposeras aussi un produit à tes lecteurs (comme une formation, par exemple) ou un service (comme de l’accompagnement).
Si tu lances une activité minimaliste comme celle-là, tu n’auras même pas besoin de publier quoi que ce soit sur les réseaux sociaux si tu ne souhaites pas le faire. Ni même de lancer une chaîne YouTube.
Parce que si tu rédiges des e-mails de qualité, alors ceux qui te lisent et qui trouvent de la valeur dans tes écrits ne se désinscriront pas, et continueront à te lire pendant plusieurs décennies...
Ce qui fait que tu n’auras pas besoin de chercher systématiquement de nouveaux inscrits pour remplacer ceux qui partent… Puisque très peu d’entre eux se désinscriront.
C’est l’inverse exact des méthodes basées sur les « tunnels de vente », méthodes qui consistent à griller son audience en essayant d’essorer chaque inscrit au maximum jusqu’à ce qu’il parte, et en faisant la chasse aux vues de l’autre côté pour remplir le navire à mesure que les gens le quittent.
Avec cette approche, au contraire, on vise le long terme : on écrit des textes de qualité, que nos inscrits voudront continuer à recevoir pendant de longues années.
Pour amorcer ta newsletter, tu peux faire de la publicité (pas besoin d’avoir un gros budget puisque tu n’auras pas à remplacer tous tes inscrits : 5 à 10 euros par jour suffisent).
Et lorsque tu auras atteint un nombre d’inscrits respectable, alors tu pourras faire des partenariats, en recommandant régulièrement la newsletter d’un collègue qui en contrepartie fera connaître la tienne à ses propres inscrits.
Avec une activité comme celle-ci, tu n’as donc plus besoin de faire la chasse aux vues sur les plateformes.
Ça te permet aussi de travailler dans l’ombre, si tu n’as pas envie de te montrer et que tu préfères rester discret.
Il y a un prix à payer, cependant, pour pouvoir vivre d’une activité comme celle-là : il faut avoir des produits à proposer…
Et si possible, un GRAND NOMBRE de produits.
C’est ce qui va te permettre de pouvoir mettre en avant une offre différente chaque semaine, voire plusieurs fois chaque semaine.
Et lorsque ton catalogue de formations sera bien rempli, alors tu n’auras plus jamais besoin d’en créer de nouveaux, à condition que ces produits soient durables. Tu pourras régulièrement mettre en avant des formations différentes, juste en puisant dans ce catalogue.
Beaucoup d’activités simples et minimalistes comme celle-ci sont rendues possibles par le fait d’avoir des produits à proposer. Plus on en a, mieux c’est.
Malheureusement, les créateurs qui ne se sont pas encore constitué un vrai catalogue sont extrêmement limités : il ne leur reste que l’option qui consiste à devoir chercher sans cesse des nouveaux clients. Ils sont obligés de mettre la majorité de leurs efforts sur la chasse aux vues, et d’investir la plupart de leur temps de travail sur la création de vidéos YouTube et sur les réseaux sociaux.
Si tu souhaites ne jamais devoir te retrouver dans ce cas là, et si tu veux pouvoir vivre d’une activité très simple (qui te permet aussi de rester discret si tu le souhaites), tu as BESOIN de te constituer rapidement un vrai catalogue de produits.
C’est la seule clé. La seule chose qui rend tout le reste possible.
Au fil de ma carrière, j’ai créé plus de 400 formations. Et mon système actuel me permet de rédiger et de lancer deux à trois nouveaux manuels chaque mois.
L’objectif, ce n’est pas d’arriver à en créer autant (pour moi, c’est un loisir, comme d’autres font du tricot ou du piano…). Mais simplement de commencer à te constituer un vrai catalogue de produits d’information, qui puisse te permettre de gagner ta vie sans devoir systématiquement remplacer tes clients par des nouvelles personnes.
Si tu n’as pas encore pu te procurer mon manuel sur le sujet, je te propose de le découvrir : il s’appelle le Manuel des produits d’information.
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