Penser à long terme


Le court terme, c’est punir un enfant parce qu’il a volé un jouet.

Le long terme, c’est lui donner l’éducation qui fait qu’il ne volera pas.

Le court terme, c’est faire un régime, puis reprendre du poids trois mois après.

Le long terme, c’est s’intéresser à la nutrition et développer une passion pour l’activité physique et la cuisine saine.

Le court terme, c’est miser l’héritage de Mamie sur une crypto douteuse qui fait le buzz sur les réseaux sociaux.

Le long terme, c’est avoir une stratégie d’investissement fiable et durable, qui nous protégera de toutes les saisons de l’économie.

Le court terme, c’est essayer de faire le plus de ventes possible tout de suite, en « grillant » sa mailing-list et en perdant la confiance que nous accordait notre audience.

Le long terme, c’est avoir une activité stable, fiable et durable, dont les résultats sont prévisibles.

Le court terme, c’est claquer tout son argent pour s’acheter du « respect » sous la forme de symboles de statut.

Le long terme, c’est créer quelque chose qui inspire le respect, ou bien apprendre à ne pas avoir besoin d’être admiré par des inconnus pour s’autoriser à s’estimer.

Tout change pour le meilleur quand on commence à penser à long terme…

Les solutions à court terme sont souvent les plus coûteuses et celles qui donnent le moins de résultats.

Elles rendent l’existence douloureuse parce qu’elles génèrent une instabilité et une anxiété qui sont handicapantes.

Le long terme donne de meilleurs résultats et demande moins d’efforts et de peine. À condition d’avoir juste un tout petit peu de patience…

Il est de plus en plus habituel d’obtenir tout de suite ce que l’on souhaite : un repas en le commandant en trois clics, un divertissement en ouvrant une application, un café en insérant une dosette dans la machine.

De fait, année après année, on s’y habitue et on devient de moins en moins patient.

C’est dommage, parce que les meilleures choses viennent à ceux qui savent attendre.

« La patience est amère, mais son fruit est sucré. » – Aristote.

Si tu as été déçu des approches de l’entrepreneuriat basées sur la course aux opportunités à court terme, si tu es épuisé et que tu cherches une nouvelle approche de ce métier, plus reposante, plus fiable et qui porte plus de fruits, alors le Manuel des activités durables va certainement pouvoir t’apporter des réponses et des pistes utiles.

Tu vas y découvrir, par exemple :

– Les 3 règles à suivre pour ne plus jamais avoir besoin de faire de « vente dure » (tes produits vont se vendre tout seuls, avec 1 % de l’effort de persuasion normalement requis) (page 17).

– Les 2 critères à suivre pour choisir une thématique durable et t’assurer de ne pas devoir tout refaire de zéro dans cinq ans (page 18).

– Pourquoi c’est une erreur de viser des clients qui ont un problème urgent à résoudre (ça peut t’apporter des ventes sur le court terme… mais ça va te demander des efforts inutiles sur le long terme) (page 19).

– Comment créer des produits qui durent, que tu pourras continuer à vendre dans 10 ans ou dans 20 ans : chaque effort que tu mets aujourd’hui dans la création d’un produit est un investissement qui continuera à t’apporter des fruits sur le très long terme (page 23).

– Les 3 façons d’enseigner, et la seule des trois qui permet de créer des formations qui ne deviendront jamais obsolètes (page 24).

– Les deux raisons pour lesquelles la plupart des créateurs vivent dans le stress et l’anxiété permanente, pourquoi c’est ce qui les empêche de persister, et comment retrouver la sérénité qui permet de durer, grâce à l’organisation durable (page 64).

– Le meilleur moyen de trouver des clients durables qui achètent tes produits régulièrement, même SANS faire de vidéos YouTube, ni de publicité, ni de référencement (page 79).

Tout le détail est sur la page de présentation du Manuel des activités durables.


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