La recherche du bonheur est vaine, parce que plus on le cherche, plus on s’en écarte :
Si tu passes ta vie à chercher le bonheur, que tu ne lis que des bouquins de développement personnel qui te font culpabiliser de ne pas être encore « parfait »…
Alors, tu seras forcément BEAUCOUP MOINS heureux qu’avant, parce que tu vas te retrouver à culpabiliser, à perdre ton estime de toi, à te comparer à des gourous qui se sont inventé une vie (crois-moi, j’en ai rencontré un paquet dans l’espace francophone) et à vivre dans la frustration.
À l’époque où je lisais encore ce genre de livres, plus je les prenais au sérieux, plus j’avais tendance à ruminer des pensées négatives, à me sentir frustré et à culpabiliser.
La vérité, c’est que tout ça ne mène à rien, parce que le bonheur ne se peut pas se trouver en le cherchant directement. C’est une quête désespérée.
Pendant des années, on a enseigné le même genre d’erreur dans le domaine de la séduction : on faisait croire à des jeunes hommes qu’ils trouveraient l’amour en le cherchant.
Alors que, au contraire, c’est en se créant une vie intéressante et accomplie qu’on trouve, de façon tout à fait naturelle, une personne de qualité qui souhaite la partager avec nous.
Pour l’argent, c’est la même chose : les gens qui passent leur vie à courir après n’en auront jamais vraiment, en dehors de quelques opportunités passagères qui ne marcheront que sur le court terme. Mais ceux qui créent de la vraie valeur pour les autres et qui se concentrent d’abord sur la création de cette valeur, eux en manquent rarement.
Créer une vie dans laquelle le bonheur vient naturellement, ça commence par créer son propre univers. Par arrêter de se conformer à des règles et à des standards choisis par d’autres, surtout si leurs intérêts sont contraires aux nôtres.
Pourquoi est-ce que l’on devrait s’enchaîner à sa ville de naissance, prendre un crédit sur 30 ans pour pouvoir se loger, payer les taux d’imposition les plus élevés de tous les pays développés, jouer à des jeux qui coûtent cher et ne nous apportent rien (comme celui qui consiste à claquer tout son argent pour justifier sa position sur une « échelle sociale » aussi virtuelle que des points dans un jeu vidéo) ?
Si on vit comme ça, il est alors normal qu’on ne soit pas heureux. Mais rien ne sert de culpabiliser… Ce n’est pas parce qu’on ne se lève pas à 5 h du matin en répétant des affirmations positives, qu’on ne passe pas 2 h par jour à faire du sport et qu’on ne lit pas 5 livres de développement personnel par semaine qu’on n’est pas heureux…
Au contraire, c’est parce qu’on vit dans un univers qui repousse le bonheur. Un univers dont les standards et les règles sont incompatbles avec notre accomplissement.
Il sera bien difficile à une fleur de s’épanouir si on la plante dans du sable. Est-ce que c’est de sa faute, ou bien de celle de l’environnement dans laquelle elle pousse ?
De la même façon, il est bien difficile pour un humain d’arriver à être heureux s’il ne trouve pas de sens à son travail, s’il donne la plupart de son temps de vie à un patron qui le méprise ou à une structure anonyme sans visage, s’il vit dans un trou à rat, s’il n’a accès ni à la nature ni à aucune aventure épanouissante, s’il lui reste juste de quoi s’acheter une place de cinéma ou un Mars glacé à la fin du mois, et s’il doit encore, en plus, s’endetter sur 30 ans pour avoir le privilège d’avoir un toit à lui.
Dans ces conditions, est-ce vraiment sa faute s’il n’est pas heureux ? Est-ce parce qu’il n’a pas bien récité ses affirmations de développement personnel chaque matin ? Est-ce parce qu’il ne pratique pas assez la pensée positive ? Est-ce parce qu’il manque de motivation ?
Ou bien est-ce tout simplement que, comme une fleur qu’on plante dans du sable, il ne vit pas dans un environnement propice au bonheur ?
Le bonheur ne se cherche pas. Il vient naturellement, quand on a créé un environnement qui le rend possible.
Dans le Manuel des modes de vie originaux, tu vas trouver des idées à foison pour créer ton propre univers, quitter ce monde de fou et vivre enfin.
À l’intérieur, il y a tout ce que j’ai découvert en plus de dix ans d’aventures (tour du monde, vie dans un chalet en Transylvanie, ouverture d’un bar en Thaïlande, construction d’une maison en bois au Cambodge, rénovation de deux fermes en Europe de l’Est…).
Tu vas apprendre, par exemple :
– L’exercice pour déconstruire la « normalité » et les standards définis par ton milieu d’origine, pour reprendre ta liberté (page 15).
– Pourquoi le développement personnel et le « travail sur soi » apportent tellement peu de résultats : sans changer radicalement de vie et d’environnement, il est peu probable que tu réussisses à résoudre tes problèmes (page 17).
– Les trois phases du démarrage d’une vie alternative (beaucoup de gens s’arrêtent malheureusement à la deuxième parce qu’ils n’ont pas compris ce phénomène) (page 37).
– Comment créer ta boîte à l’étranger, dans ton pays d’expatriation, sans te faire escroquer (page 46).
– Gérer sa protection sociale et sa retraite par soi-même, sans l’État (page 49).
– Comment remplacer la Sécurité sociale par ses propres moyens quand on vit à l’étranger (avec deux astuces pour réduire tes cotisations d’assurance) (page 50).
– La sécurité personnelle : comment éviter les galères que beaucoup d’expats et de voyageurs rencontrent (j’ai parcouru le monde sans rencontrer de souci majeur en appliquant ces astuces simples) (pages 55 et suivantes).
– Comment trouver quelqu’un qui puisse t’aider sur place à résoudre des problèmes, à prendre des rendez-vous, à négocier pour toi lorsque c’est nécessaire, à te servir d’interprète… (page 61).
– Se faire un réseau sur place, dans n’importe quel pays (c’est la méthode que j’ai employée pour m’intégrer en Roumanie rurale, pour créer des liens dans un village cambodgien, et dans tous les autres endroits dans lesquels j’ai vécu) (page 64).
– Les deux façons de s’intégrer : la méthode pour la ville, et la méthode pour la campagne (page 66).
– L’immobilier à l’étranger : tout ce qu’il faut savoir (pages 68 et suivantes).
– Les biens immobiliers qui prennent presque toujours de la valeur à l’étranger et ceux qui en perdent presque toujours (page 69).
– La vie sociale lorsqu’on habite loin de ses proches et de ses amis (et comment utiliser son mode de vie pour bâtir des liens encore plus forts qu'avant avec ceux qui comptent pour nous) (page 73).
– Les milieux à éviter comme la peste si tu souhaites maintenir un mode de vie libre et choisi (ces milieux de Français à l’étranger fonctionnent souvent comme un engrenage : en mettant le doigt dedans, on risque de se retrouver happé) (page 80).
– La grande erreur que font beaucoup d’hommes célibataires lorsqu’ils veulent se mettre en couple avec une personne rencontrée dans un pays non occidental (page 86).
– Ce qu’il faut savoir sur le « couple traditionnel » (ça n’a RIEN À VOIR avec l’image d’Épinal présentée par certains influenceurs… C’est même souvent l’inverse) (page 87).
– Partir en couple : pourquoi tellement de couples rompent moins d’un an après leur départ pour l’étranger (et les deux seuls cas dans lesquels ils ont tendance à durer) (page 90).
– Comment je me suis libéré de mes engagements lorsque j’ai voulu changer de pays ou de vie (page 94).
– Rendre son projet de vie autosuffisant en créant du contenu (il suffit de documenter tes voyages, la création de ton mode de vie, le lancement d’un projet local ou juste tes aventures au quotidien) (page 99).
Tout est dans le Manuel des modes de vie originaux !
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